Auroville : another word !

Mahabalipuram  - Auroville 105 kilomètres

Beaucoup de kilomètres à venir aussi départ à l’aube en même temps que les pêcheurs. Ceux-ci ne s’éloignent pas, à quelques encablures du rivage, ils jettent  leur filet.

Sur la route qui est assez fréquentée des scènes de vie quotidienne à la campagne. Maisons avec des feuilles de palmiers sur le toit.

 

Charrette tirée par les bœufs

Des rizières.

Au bord d’un plan d’eau, les pêcheurs lancent leur filet. On peut facilement les apercevoir sans même descendre de vélo. Nous nous arrêtons tout de même !

Pause : café et iddly galette de riz concassé cuite à la vapeur)avec du curry. L'endroit n'est pas très propre, mais les gens sont agréables et attentionnés.

 
Des salines. On assiste au chargement d’un camion. Les femmes portent des paniers remplis de sel pour remplir des sacs. Ces derniers de 120 kilos sont chargés à dos d’homme dans le camion. Travail de forçat. Ils m’ont invité à porter un sac, j’ai décliné l’invitation…

Arrivée aux portes de Pondichéry, on bifurque pour rejoindre la cité utopique d’Auroville. 

 
Auroville, lieu de vie, dans un espace de 20 km2,  surtout plantés par les Aurovilliens. Selon  Mère, fondatrice de l’endroit et inspirée par le philosophe Sri Aurobindo, ce lieu se veut être universel et appartenir à tous.

C’est autour de ce banian qu’a été construite cette ville.

Ici on vient faire sa découverte intérieure pour savoir ce que l’on est vraiment derrière les apparences sociales, culturelles et morales ! Pour vivre à Auroville il faut y travailler en partageant avec les aux autres ses savoirs faire. Tout le monde y serait bénévole. L’écologie est de rigueur ainsi que la consommation de produits locaux.

 Au centre de ce lieu, le Matrimandir qui abrite la salle de méditation. Autour, 12 « pétales » représentant chacune une vertu.

Photo de mère et de Sri Aurobindo, les initiateurs du projet Auroville.

Sur le chemin qui mène au matrimondir des "valeurs" illustrées par une fleur et une "pensée".

 Ici on loge dans des guest-house disséminées dans les bois  et on s’y balade en vélo sur des chemins afin de voir les lieux de vie de ces  2OOO habitants, originaires d’Inde et d’une quarantaine de pays étrangers, pas des cabanes en palmiers !!

C'est une des première fois que nous nous faisons à manger, cela change un peu. Au menu : ratatouille ;-)

 Les touristes qui viennent ici restent une semaine à quelques mois pour s’imprégner de l’esprit de la communauté. Notre Guest House, un bel endroit... On reste ??